"En 1925, la France fêtait sa victoire depuis sept ans. Ca swinguait, ça jazzait, ça cinématographiait, ça mistinguait. L'art déco flamboyait, Paris s'amusait et s'insouciait. Coco chanélait, André bretonnait,
Maurice chevaliait.
Malgré tout je ne parvenais pas à m'abandonner à cette insouciance. J'étais loin d'être le seul. On avait beau faire semblant, on avait traversé l'enfer.
Cette histoire d'amoureux disparu, ça me permettait de me retourner sur cette guerre avec l'espoir de trouver un peu de beau dans tout ce merdier."
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