Une flûte, une guitare, et des voix qui invitent au rêve et à la détente. Cet album est définitivement trop court 

tant on se laisse emporter par une sorte de méditation. La fin du disque semblerait presque abrupte tellement on était bien, bercé dans ce cocon qui rappelle Agnes Obel, aussi dans le traitement du son. Bref, à écouter en toutes situations. Enervé ou détendu le résultat sera le même : quoi qu’il arrive vous remettrez le CD dès qu’il sera terminé.

mariée sioux verso

 

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